Nathalie Bihan
Designer graphique

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Je suis Nathalie Bihan et je suis graphiste basée à Brest. Après 9 années passées en imprimerie offset, numérique et sérigraphie, je partage aujourd’hui mon temps entre le graphisme, la direction artistique, l’impression riso et l’édition.

06 82 565 262
nathalie_bihan@yahoo.fr
Siret 500 402 458 00037
Mda B258058

> Risographe
Super Banco

> Éditrice
Éditions Autonomes

> Curatrice avec Yves de Orestis
Bleu

> Directrice artistique & membre bénévole fondateur et actif
Kuuutch

 

 

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Avant que les murs ne tombent — Éditions Autonomes

Design graphique de la couverture du zine 28 pages et impression par mes soins en riso Super Banco.

Photographies de Paul-Alexis Leveugle (+ design intérieur)
Édité à 33 exemplaires chez Éditions Autonomes et Bloc-Note, label brestois.
11 performances enregistrées et dupliquées sur 33 cassettes. Distribuées de façon aléatoire.

« Avant que les murs ne tombent est une promenade autour d’habitations vouées à la destruction en métropole brestoise.

Le travail de Paul-Alexis Leveugle parle essentiellement de la péremption de l’architecture, de la lente érosion des bâtiments, des maisons, des lieux de vie… Leurs murs s’effondrent, leurs fenêtres se retrouvent condamnées mais les souvenirs y sont toujours présents, qu’ils soient exacts ou, telles ces maisons, se retrouvent altérés par le temps qui passe. Il vient raviver nos oublis. Il s’attache à travailler autour de la Bretagne, sa région d’origine. Cette architecture de la reconstruction qui entoure la région et qu’il aime explorer, la fierté bretonne remise en abime dans ce travail s’exprime sous une forme de semi-reportage / témoignage. Né en Bretagne, il a vécu et a été témoin de cette érosion architecturale, comme de celle de ses paysages au gré des tempêtes et houles traversant l’atlantique pour finir leurs courses contre les falaises, au-dessous de ses habitations.En complément du visuel s’en vient le sonore, bande son d’un film dorénavant statique ou défunt.
Se servant de boucles sonores enregistrées en amont de manière instrumentale ou microphonique (field recording), ces performances cherchent à détruire les espaces et n’en conserver que les traces de leurs souvenirs. Ces enregistrements, lus sur cassette audio, sont modifiés, torturés, transformés en mélodies érodées. D’un départ plutôt poétique, les sons se saturent, se déconstruisent, ils deviennent vestiges. »  Thomas Bolliet

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